La chapelle du château de la Jousselinière au Pin-en-Mauges
Dans la campagne du Pin en Mauges, en direction de Beaupreau, au bout d’une grande allée existent encore aujourd’hui les ruines d’une ancienne demeure seigneuriale : le château de la Jousselinière.
De vieilles tours en partie démolies, des douves anciennes, une vaste propriété de bois y sont les vestiges de plusieurs siècles d’histoire. Cette propriété privée dont les premières traces remontent au XIVème siècle conserve également une chapelle qui fut fondée en 1780 par la famille d’Aubigné.
Les actes de mariages, naissances, décès de la paroisse du Pin-en-Mauges témoignent de différentes cérémonies religieuses qui y furent célébrées au cours du temps.
La chapelle de style Renaissance est dédiée à Saint Eutrope. Elle fut miraculeusement épargnée à la Révolution alors que le château était brûlé, et au XIXème siècle un clocheton fut ajouté. L’intérieur fut également rénové à cette époque en sauvegardant deux fresques d’origine : l’une représente Saint Christophe et Saint Jérôme, l’autre Saint Eutrope.
Michel Joncheray pour l’Association Patrimoine et Culture – Le Pin-en-Mauges
Sources : Célestin Port Edition 1878 – Promenades du Brac Avril 2005 – Manuscrit H. Blanche-Trégouet 1980
Lithare Bérangère
Bonjour, je ne connaissais pas cet endroit. Est-ce qu’il est possible de le visité ?
Merci.
Mme Lithare
Gabory Olivier
Ce site est un site privé, donc non visitable. Comme ce fut déjà le cas, les propriétaires peuvent cependant l’ouvrir au public lors d’occasions particulières (journées du patrimoine…). N’hésitez pas à consulter les programmes !
Michel Collineau
Bonjour,
Je connais très bien ce site, pour l’avoir visité lorsque j’étais gamin, malgré l’interdiction de mes parents. Cet endroit m’a toujours fait rêver et a toujours stimulé mon imagination, et si aujourd’hui je m’y intéresse, c’est parce que j’écris l’histoire de ma famille ( une sorte de biographie familiale romancée ) – qui résidait à quelques encablures seulement de ces ruines. Il eut été dommage de ne pas évoquer les bons moments de ma jeunesse, comme un devoir de mémoire.
Je suis retraité à mes heures perdues, et écrivain le reste du temps – j’ai écrit et publié 8 romans ).
Cordialement.
Michel